L'Express, 8-12 avril 1995" ...De ce spectacle estampillé pur XVIIIe suinte en effet un charme fou...
...Il y a toujours quelque chose à regarder, à surprendre, à humer...
...Le temps de cette délicieuse liaison qui nous sort du ronron... "
L'Humanité, samedi 18 mars 1995" ...Ce spectacle baroque de la compagnie des Oiseaux fous qui ressemble à un songe...
...Tout contribue à maintenir le spectateur entre rêve et réalité... "
La Nouvelle République du Centre Ouest, 24 juin 1994" Plutôt baroque et fou. Insolite tout le temps, dérangeant parfois, séduisant toujours comme étaient déjà séduisants les Macadactyles ovipares présentés l'été dernier...
...Séduisant parce que ce spectacle sans parole possède une extraordinaire force contenue, une faculté de conviction qui continue à hanter les spectateurs bien après que les lumières et les musiques ne se soient éteintes et tues... "
Le Parisien, mars 1995" Entre tréteaux de foire et boîte à joujoux, un climat étrange se dégage de ces draperies blanches, ces bougies portées par des laquais en perruques et costumes à la française immobiles comme des statues, ces masques blancs, ces lumières en contre-jour. Mais c'est aussi de la féérie et de la farce, avec une extravagante Marie-Antoinette sur échasses...
Loin de la tradition, les Oiseaux fous jonglent entre piste et scène... "
" Un incroyable délire de marquis empapahutés et de jeunes poudrées prêts à se pendre au premier trapèze venu, à jongler de boules mystérieuses, à jouer du couteau. Un cirque baroque aux accents déraillants de décadence fin de siècle. "Libération, 25 et 26 mars 1995
" Le cirque Les Oiseaux Fous n'est pas un cirque comme les autres. Du cirque traditionnel il a gardé la technique et le sens de la fête mais il y ajoute un grain de folie, une grandiloquence somptueuse qui n'appartient qu'à lui [...] Les yeux remplis d'étoiles, l'âme écartelée, ils se donnent à fond, sans un mot, mais en musique, en chants, en mélopées poussées comme des cris, des figures de mime comme des figures de proue et un déluge de rires en bouquet, de frissons en cascade... "Le Quotidien, 25 mars 1995